A l’heure de la dématérialisation de la musique, nous voilà forcés de constater que si certains albums se sont vendus à des millions d’exemplaires dans le monde à leur sortie, certaines de leurs pochettes n’en sont pas moins marquantes.
Véritable incarnation de l’univers d’un artiste ou de l’album qu’elle renferme, la pochette de CD constitue l’élément graphique majeur accompagnant la promotion d’un disque duquel est ensuite décliné tous les autres supports (affiches de concert, DVD/Blu-Ray, etc…)
Aujourd’hui, je vous présente quelques pochettes qui risquent de vous faire vous retourner à deux fois si vous les apercevez chez votre disquaire ou en vagabondant sur les plateformes d’écoute musicale en ligne. Entre univers totalement barré, craquages aériens et délires psychédéliques, ami(e)s graphistes et designeurs, sachez dire « non à la drogue ».
Michael Jackson – Dangerous (1991)
Capital Cities – In a tidal Wave of Mistery (2013)
Empire of the sun – Walking on a dream (2008)
Supertramp – Breakfast in America (1979)
Slash – World on fire (2014)
David Bowie – Diamond Dogs (1974)
Maroon 5 – Overexposed (2012)
Coldplay – Mylo Xyloto (2012)
Major Lazer – Guns Don’t Kill People… Lazers Do (2009)
Mika – Life in cartoon motion (2007) & The boy who knew too much (2009)
Jimi Hendrix – Axis (Bold As Love) et Axis Outtakes (1967)
Philippe Katerine – Robots après tout (2005)
Pink Floyd – Animal instinct (1977)
The Strokes – Angles (2011)
Lady Gaga – Born this way (2011)
